ALAIN BASHUNG

Concerts de Alain Bashung

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Biographie de Alain Bashung


Après "Fantaisie Militaire" Bashung sort en 2002 "L'Imprudence", un album qui une fois encore sort des sentiers battus. L'artiste dit ses mots (comme une sorte de talkin blues) sur une musique mélancolique somptueuse. Que va nous faire Bashung sur scène ? Réponse à l'automne prochain. Réservez vite. Présentation tiré du dossier de presse Garance 2003 Par la meurtrière, on a longtemps guetté ce nouvel album de Bashung. D'habitude, il "flinguait" tous les deux ans et on l'espérait ferme au coin du millénaire. Il n'est jamais venu à la date prévue. Derrière l'horizon, on devinait ses chansons en train de décanter, sa musique s'échafauder tandis qu'il multipliait les clins d'œil au ciné ou à la télé. Mais il nous fallait attendre, laisser venir. Attendre que Bashung retrouve l'envie, qu'il rencontre l'humeur optimale pour ourdir ses nouvelles chansons. Les voilà enfin. Quatre (longs ?) hivers après Fantaisie militaire, Bashung commet donc L'imprudence. Treize titres pour hanter nos nuits et réveiller nos oreilles fatiguées. Dans sa foulée, une escouade de complices connus pour leurs faits d'armes sur ses précédents disques - Simon Edwards (Talk Talk), Martyn Barker (Shriekback) et Jean Lamoot déjà compagnons d'aventure sur Fantaisie militaire, Marc Ribot, guitariste providentiel sur Chatterton, l'indispensable lexical Jean Fauque - renforcée par deux nouvelles recrues d'exception, deux aiguilleurs des sens au toucher unique : le pianiste Steve Nieve (Elvis Costello) et le guitariste Arto Lindsay (John Zorn, Lounge Lizards, David Byrne). Derrière ce casting de rêve, Bashung a aussi choisi ses hommes de l'ombre, ces anonymes pluridisciplinaires qu'il met devant l'obstacle pour qu'ils se révèlent : Arnaud Devos, le duo électronique suisse Mobile In Motion, Ludovic Bource, Eric Bigeon et quelques autres. Un grésillement, une montée de violons... sa voix est intacte. Un claquement de porte, un arpège éthéré, un orchestre de percussions venues du fond des âges (timbales, tocsin) qui égrène le temps, une pensée de piano ... Bashung. Tout est Bashung. Tel qu'on l'avait quitté après Chatterton, après Fantaisie militaire. À plusieurs mais unique. L'uniforme couplet/refrain dégrafé, le chant bleu, débarrassé des protocoles pop ou rock, barrant sa musique hors normes loin des eaux usées des genres. Que les prudents et autres amateurs de politesses sonores se préparent au grand choc et s'achètent du courage. Bashung a mis le cap vers une nouvelle destination musicale pour expérimenter une formule inédite. Piano, voix, harmonicas, cordes et clarinettes au premier plan, il visite l'Amérique de David Lynch, fantasme la forme ultime d'une musique intérieure où les souvenirs mêlés du What's going on de Marvin Gaye et du Strawberry fields forever des Beatles fondraient sous des touches d'ivoire (Je me dore, La ficelle, Le dimanche à Tchernobyl). Où Tom Waits trimballerait son bazar-circus, titubant entre accords et désaccords de son blues nomade en rêvant de ce vieux disque de Scott Walker punaisé au fond de la caravane. Où l'empreinte d'un groove à la Lalo Schifrin filerait à toutes enjambées dans une forêt de cloches sous le soleil d'un étrange été austral (Dans la foulée). Où la chair et le blues animeraient les pièces musicales d'Angelo Badalamenti (Mes bras, L'irréel). Où la poésie de Robert Desnos s'affolerait de tachychardie (Jamais d'autre que toi). Où les mots de Miossec réaliseraient leur rêve d'être chantés par un Bashung en pleine liberté vocale (Faisons envie). Où... Restons-en là.

Actualité de Alain Bashung

26-02-20

Immortel Bashung : diffusion inédite du concert hommage sur France Télévisions !

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25-07-19

Immortel Bashung, un concert-hommage le 2 octobre au Grand Rex à l'initiative de l'INA

Gardien des archives audiovisuelles, l'INA est à l'initiative d' un ' concert patrimonial ' le 2 octobre autour de Alain Bashung disparu...

14-03-19

Bashung ce soir au cinéma à l'occasion des 10 ans de sa disparition

Alain Bashung manque à son public, et plus largement à toute la chanson française A l'occasion des 10 ans jour pour jour de sa...

31-03-09

Bashung, un concert hommage au Centre Musical Barbara

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15-03-09

Alain Bashung, fin de concert. Le rockeur, chanteur, poète a disparu

Le chanteur et compositeur Alain Bashung est mort samedi à l'âge de 61 des suites d'un cancer. Atteint de la maladie depuis l'automne...

12-03-09

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Alain Bashung touché par la maladie reporte trois nouveaux concerts, celui de Longjumeau le 14 mars et ses deux concerts au Grand Rex. Le...

02-03-09

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L'artiste, courronné de "Victoires" (de la musique) ce week-end, n'assurera cependant pas ses deux concerts prévus au Grand Rex...

01-03-09

Victoires de la musique : les lauréats 2009 en concert

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27-02-09

Victoires de la Musique : vos paris et les notres

On vous a déjà donné la liste des nominés pour les Victoires de la Musique 2009 et si la plupart des gagnants sont...

23-02-09

Alain Bashung, concerts annulés en février 2009

Pour des raisons médicales, les concerts d'Alain Bashung, prévus au mois de février (le 22 à Lyon, le 24 à...

23-01-09

Victoires de la musique 2009, les nominés par catégorie sont...

Les 24ème Victoires de la Musique, présentées par Nagui, seront décernées le samedi 28 février prochain...

13-01-09

Bashung prolonge sa série de concerts au Grand Rex

On a entendu que des éloges de ses concerts en 2008. Malgré sa maladie, Alain Bashung prolongera en 2009 la tournée qu'il a...

30-10-08

Alain Bashung : des nouveaux concerts en France en 2009

Cinq années après "L'Imprudence", Bashung nous revient avec un nouvel album, "Bleu Pétrole" qu'il présentera sur...

Liste des albums de Alain Bashung

Dimanche à l'Elysée

"Dimanche à l'Elysée"

11/2009 - Barclay
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Bleu Pétrole

"Bleu Pétrole"

03/2008 - Barclay
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L'Imprudence

"L'Imprudence"

10/2002 - Barclay
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Avis sur Alain Bashung


Thib P.
14 critiques
  Avis écrit le 21 Juillet 2020

Un grand monsieur.

GUILLAUME K.
5 critiques
  Avis écrit le 25 Novembre 2004

Le 23/11/2004 - Paris Elysée-Montmartre.
Durant deux soirées consécutives ,l'homme en noir français a peut-être offert ses deux meilleurs prestations de la tournée .Une sorte de communion au accents de fin de tournée et de cerise sur le gateau (même s'il reste quelques dates et qu'en 2005 ,il remet ça) s'est déroulé dans la petite mais précieuse salle de l'Elysée-Montmartre .A présent c'est sa muse Chloé Mons (alias Mme Bashung) qui ouvre le bal avec six titres dont une reprise originale du 'Can the can' de Suzie Quatro .Quelques minutes après c'est Monsieur Bashung qui accompagné de quatre musiciens d'un professionnalisme exemplaire qui apparait au centre du ring baigné par une luminosité sombre ,laissant ainsi planer le mystère qui l'entoure depuis de nombreuses années. Les titres alternent entre classiques de la première heure ('J'envisage' , 'Bijou bijou' ce dernier remanié façon mexicaine speedée) ,tubes qu'on ne présente plus et morceaux intimistes appelés à devenir des modèles d'exigence .'What's in a bird' est la preuve que Bashung a comprit depuis très longtemps que les questions sont bien plus interessantes aux réponses et contrairement à l'image médiatique qu'il peut donner ,Alain cultive le bonheur par petites touches api 'Apiculteur' ,remerciant la femme 'Osez Joséphine' en abolissant les péages d'un système où la forme a prit le pas sur le fond. Qui oserait aujourd'hui s'attaquer au 'Nights in white satin' des Moody Blues seul à la guitare acoustique ? Bashung donne beaucoup laissant la part belle à l'imagination personnelle du spectateur et le second soir avant de repartir vers la félicité il entamera 'Les mots bleus' de Christophe qui quelques secondes après fera son apparition sur la scène pour un duo mémorable ponctué par 'Amsterdam' du grand Jacques Brel. Croisement entre Elvis '68 et Alan Vega ,le Bashung heureux de ce nouveau siècle enlèvera ses emblèmatiques lunettes noires qu'il offrira au public avant de s'effacer nous laissant à nos cauchemars qui grace à lui deviennent magnifiques.

Denis V.
1 critique
  Avis écrit le 25 Novembre 2004

Le 24/11/2004 - Paris / Elysée-Montmartre.
Bashung est un grand chanteur, ses textes et sa musique ont du sens et véhiculent souvent de l'émotion, mais quelle déception que ce concert !
Une première partie insipide confiée à sa jeune épouse qui s'appelle Chloé Mons. Cette personne est pulpeuse à souhait, elle porte une jupe très très mini mais hélas elle n'a ni voix ni répertoire. Son tour de chant n'atteint même pas selon moi le niveau de la Star Ac'...
Puis une demi-heure d'attente et voici enfin Bashung, derrière sa paire de lunettes noires. Ses 5 musiciens sont sagement alignés derrière lui. Lui ne bouge pas ou presque pas. Et de toute façon, on le voit à peine car il chante dans une sorte de pénombre. Quelques maigres projecteurs mettent les musiciens en lumière mais quant à Bashung, seul son dos semble éclairé... Bizarre ! Est-ce que Bashung ne veut pas être vu ? Ou a-t-il mal aux yeux au point de ne pas supporter la lumière des projecteurs (ce qui expliquerait aussi ses lunettes noires, qui lui donnent un petit genre mais ne facilitent guère la communication avec son public) ? Ou est-ce la pauvreté des moyens techniques de l'Elysée-Montmartre ?
En tout cas, tout cela ne contribue pas à créer de l'ambiance. La chanteur nous déroule les bons morceaux de son répertoire. C'est bien fait mais c'est quand même moins bien que sur les albums. Le public, bashungophile comme moi, applaudit poliment, mais chacun semble rester sur sa faim. Pas de spectacle. Pas d'enthousiasme. Pas d'émotion. Pas de communion.

GUILLAUME K.
5 critiques
  Avis écrit le 03 Octobre 2004

Le 02/10/2004 - Caen / Hérouville.
A Caen ,Bashung a de nouveau démontré qu'il n'avait rien à envier aux grands rockers de l'Histoire .Un spectacle remanié avec seulement quatre musicos au lieu des sept habituels et une set-list que plus d'un fan a du fantasmer au moins une fois dans sa vie .Oui Monsieur Alain approche de la soixantaine ,mais ça ne l'empêche pas d'offrir une prestation digne des années 80 avec des brûlots comme Lavabo ,Scènes de Manager ,Pyromanes et le très suicidaire J'Envisage .Difficile de faire moins commercial ,mais les tubes ne sont pas en reste :Vertige de l'Amour ,Osez Joséphine et La Nuit Je Mens sont fidèles au poste ,mais quel plaisir de réentendre les standards du plus-que-culte Play Blessures écrit jadis avec Serge Gainsbourg. Donc un concert bien plus rock que sur les neuf premiers mois de la tournée ,absence des cordes oblige .Nostalgique Alcaline ,névrotique Samuell Hall ,apocalyptique final sur Martine Boude ,Bashung ose toujours plus car après nous avoir emmerveillé avec L'Apiculteur ,il ose le Nights in White Satin des Moody Blues ,seul avec sa guitare acoustique ,devant la lumière rouge des projecteurs qui sur le mur en briques de la nouvelle salle du Big Band Café ,évoque un enfer où on voudrait y passer le reste de l'éternité ...à écouter l'homme en noir.

GUILLAUME K.
5 critiques
  Avis écrit le 20 Juillet 2004

Le 19/07/2004 - Deauville.
Hier soir ce fut le tour d'Alain Bashung de se produise sur la scène du CID dans le cadre du festival Swingin' in Deauville. Sans doute à cause de la configuration de la salle
pas d'écrans latéraux ni de pyramide ,ce qui donnera un concert encore plus intimiste que d'habitude . Comme un mois auparavant à l'Olympia ,c'est un Bashung en grande forme et très motivé (criant des "hou" très souvent dans le micro) qui durant presque deux heures ravira un public pourtant moins rock'n'roll et plus guindé que sur le reste de la tournée. Les morceaux habituels (à part quelques-uns: Le dimanche à Tchernobyl ,2043 ,Cantique des cantiques )sont au rendez-vous ,parfois dans un ordre différents (Faisons envie précédent Samuel Hall et Angora avant Martine boude) mais très souvent joués dans des versions transcendantes . Toutes les places sont assises mais au contraire de ce que l'on aurait pu craindre le public réagit à chacun des titres notamment Osez Joséphine et Vertige de l'amour pratiquement repris en coeur. Alain finira le concert dans l'ambiance bleutée de Madame rêve avant de s'incliner devant une standing ovation et des remerciements largement mérités. Une chose est sure ,Alain Bashung n'a besoin d'aucun artifice pour faire passer ses émotions et faire ainsi vibrer une salle .Le Pas-de-Calais devrait se régaler ce soir...

Frédéric B.
15 critiques
  Avis écrit le 13 Juillet 2004

Le 09/07/2004 - solidays.
Un bon groupe, mais je crois que l'album rend aussi bien que le concert malheureusement... Je ne suis pas sûr que ce genre de festival soit le meilleur lieu d'expression pour ce chanteur...

GUILLAUME K.
5 critiques
  Avis écrit le 17 Juin 2004

Le 14/06/2004 - Olympia Paris.
Après les sept titres de Miossec et la demi-heure de (re)mise en place ,les sept musiciens prennent place le long de la pyramide et entament l'intro de "Tel" ,titre d'ouverture pour chaque concert de la tournée .Le public est très chaud et afin que celui-ci entre plus vite que d'habitude dans son tourbillon rock ,Bashung saute "Je me dore" pour l'enivrant "Faites monter" où à chaque refrain les spectateurs s'abandonnent à la montée vertigineuse dans laquelle le chanteur les convient. La pression ne se relâche pas ,les deux tubes de Fantaise Militaire prennent la relève suivi de "Aucun express" ,ballade aux accents mythologique qui elle aussi aurait mérité de sortir en single. Alain en veut ,et c'est un euphémisme .Moulé dans son cuir noir ,l'artiste virevolte à son habitude ,esquissant des gestes affirmant sa personnalité unique tout en gardant quelques références à des 'maudits' de la tempe de Vince Taylor. Les titres des deux derniers albums font place à des morceaux plus anciens dans lesquels le jeu des guitaristes Geoffrey Burton et Yan Péchin n'a rien à envier à quelques virtuoses metalleux 80's."Volontaire" ,Légère éclaircie" ,"Bombez" et "What's in a bird" déchainent l'enthousiasme des fans. Puis Bashung reprend le manche de sa guitare pour les désormais classiques "J'passe pour une caravane" et "Osez Joséphine" avant d'achever la première partie du concert par le troublant "Samuell Hall" suivi de "Vertige de l'amour" .Cinq petites minutes de pause ,une séance de décryogénisation et un baise-main reveilleront Chloé Mons qui rejoindra son époux sur le devant des hostilités pour les deux duos que sont "Faisons envie" (co-écrit avec Miossec) et le "Cantique des cantiques" .Les dernières minutes verront le retour d'Alain tout seul au micro pour quatres dernièrs bijoux ,terminant sur l'onirique "Madame rêve" et une phrase prémonitoire pour chacune des personnes présente "Faites de beaux rêves" ,le contraire aurait été difficile.
Entre incendies ("Volontaire" et "Martine Boude")et fragilité ("Mes bras" et "Angora") ,le chanteur "pas d'équerre" a de nouveau confirmé avoir quelques longueurs d'avance sur le reste des auteurs francophones. Les fantômes de l'Olympia doivent être fiers de lui...

Simon D.
5 critiques
  Avis écrit le 01 Février 2004

Le 10/01/2004 - MAC de Créteil.
2 heures 30 de concert intense. Certe le personnage ne parle pas mais la mise en scène géante (écrans géants, scène en escalier...), le répertoire exceptionnel et sa musique envoutante suffisent à vous mettre ailleurs et dans un monde complètement exceptionnel pendant tout le concert. Bref, objectif atteint : aucune critique pour ce concert, le personnage en jette !

GUILLAUME K.
5 critiques
  Avis écrit le 22 Janvier 2004

Le 22/01/2004 - Bataclan ,Paris.
Le Bataclan lundi 21 novembre 2002 ,21 h ,sept musiciens prennent leurs places sur la scène et balancent les premieres notes d'une musique pleine de voluptés. Au bout de quelques secondes ,une longue silhouette vêtue de cuir noir apparait au centre de la scène et entame les paroles de Tel ,le premier titre de "L'Imprudence".Petit à petit l'homme aux lunette noires ,aux santiags éffilées et à la crinière devenue grise avance en direction des premiers rangs. Alain Bashung vient de faire son retour sur une scène parisienne apres plus de huit ans d'absence.Le public reste bouche-bée car il sait qu'il vit là un évènement ,certains ont même attendu 10 ans ce moment.Apres deux autres titres indispensables du dernier disque ,Bashung enchaine avec La Nuit Je Mens et Sommes-Nous devant un parterre de fans qui ont bien cru ne jamais les entendre en live.Alternant des titres des deux derniers albums ainsi que des classiques de la premiere époque (Osez Joséphine ,What's in a Bird ,Vertige de l'Amour) ,le fan de Gene Vnicent et de Scott Walker fera planer la salle grace à des musicos precis ,des eclairages magnifiques (notamment les verts) et deux écrans latéraux sur lesquels defillent divers films abstraits illustrant la plupart des morceaux.L'homme a beau prendre 56 ans dix jours plus tard ,il demontre encore une présence unique dès qu'il se retrouve face à un micro. Apres un intermède de cinq minutes Bashung revient en compagnie de sa muse Chloé Mons pour 3 titres dont un Cantique des Cantiques raccourci pour l'occasion. Retour en solo pour quelques classiques (dont un Madame Rêve plus onirique que jamais)avant de remettre son chapeau et son pardessus pour s'envoler dans la nuit parisienne ou peut-être rejoindre des trains à travers la plaine...

Concerts passés de Alain Bashung

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